Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de Pierre HAMMADI

Le blog de Pierre HAMMADI

Bienvenue à tous

Publié le par PIERRE HAMMADI

En 2012, François Hollande devient président de la République. Quelques mois après son élection, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault instaure une nouvelle taxe de 3 % sur les dividendes versés par les entreprises à leurs actionnaires. Le but : "inciter les entreprises à investir plutôt qu'à récompenser leurs actionnaires", et ainsi lutter contre la finance, "l'ennemi" dénoncé par Hollande durant sa campagne.

En juin 2017, les entreprises concernées, opposées à cette taxe, se tournent vers le Conseil constitutionnel pour la faire invalider. Le 6 octobre dernier, elles obtiennent gain de cause : le Conseil constitutionnel estime que la taxe sur les dividendes va à l'encontre des "principes d'égalité devant la loi et devant les charges publiques". 

L'État va devoir rembourser aux entreprises près de 10 milliards d'euros.
 

Décision n° 2017-660 QPC du 6 octobre 2017, Société de participations financière [Contribution de 3 % sur les montants distribués]

Anticipant la décision des sages du Conseil constitutionnel, le gouvernement d’Édouard Philippe avait supprimé la recette de la taxe contestée de son budget pour 2018 et même provisionné 5,7 milliards d’euros sur cinq ans pour les remboursements. 

Mais cette provision ne sera pas suffisante a reconnu le ministre de l’Économie Bruno Le Maire qui n’a pas hésité à qualifier cette question de "scandale d’État". Le Maire se dit engagé à identifier et dénoncer les responsables.

Le gouvernement d’Édouard Philippe envisagerait de se retourner vers les entreprises en leur demandant de négocier un "étalement dans le temps" des remboursements dus aux entreprises. Mais si cela devait s’avérer insuffisant, Bruno Le Maire n’hésite pas à brandir une contribution exceptionnelle pour un petit nombre de grands groupes concernés car "les grandes entreprises françaises ont aussi une responsabilité vis-à-vis de la Nation". 

Ainsi, la taxe sur les dividendes qui a été versée indûment par les entreprises devrait être compensée par une contribution exceptionnelle.

L'occasion pour l'Élysée de dénoncer l'amateurisme de l'équipe de François Hollande. "Celles et ceux qui donnent des leçons sont responsables d'une dette de l'État égale à quatre ou cinq années d'ISF.  minima, la modestie face à ce genre de situation devrait s'imposer", a martelé Christophe Castaner qui s'est exprimé devant les médias mercredi 18 octobre. 

Pourtant à l'époque, Emmanuel Macron était secrétaire général adjoint de l'Élysée. 

L’État doit rembourser 10 milliards d’euros aux entreprises

Voir les commentaires

Publié le par PIERRE HAMMADI

Les salariés de la société Derichebourg à Marseille en sont à leur 12e jour de grève dans les 2e, 15e, et 16e arrondissements et la tension ne cesse de monter avec la direction. 

Cette dernière affirme ce dimanche que la collecte des ordures est "régulièrement perturbée par l'intervention de grévistes et d'individus extérieurs à l'entreprise". 

Dans un communiqué, Derichebourg dénonce des gens "violents, menaçants, entravant les voies de circulation à l'aide de véhicules et scooters".

La société pointe du doigt "des représentants de sociétés concurrentes". "Depuis jeudi matin, ils empêchent la reprise du travail des salariés qui le souhaitent, usant de pressions et menaces, alors même que des avancées significatives dans les négociations avaient été réalisées par toutes les parties prenantes", affirme-t-elle. 

Kamel Djeffel, secrétaire national de la Confédération autonome du travail, porte-parole des grévistes, récuse ces accusations : "C’est regrettable, on va dire qu’il s’agit d’une maladresse de communication", a-t-il déclaré à l’AFP. 

Il estime que : "le conflit a pris une telle ampleur, les négociations ne se feront pas sans la présence de la direction régionale du travail". Il assure que les salariés "font preuve de bonne foi en laissant les intérimaires ramasser les ordures alors que c'est illégal, c'est un délit d'entrave à la grève".

Mardi pourtant, la tension était retombée. Les grévistes avaient accepté de débloquer des centres de transfert, permettant aux éboueurs non-grévistes et d'autres arrondissements d'y vider leurs bennes.

Dès jeudi, le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin (LR), également président de la métropole Aix-Marseille-Provence, chargée des déchets, avait déploré dans un communiqué que "près de 2.800 tonnes d'ordures restaient encore à collecter". 

Jean-Claude Gaudin demandait à Derichebourg "de mettre tous les moyens en oeuvre pour remplir ses obligations contractuelles, y compris, si nécessaire, en recourant à des agents intérimaires". 

"Les Marseillais attendent un retour rapide à un service normal et ne doivent pas subir plus longtemps une situation d'insalubrité qui n'a que trop duré", concluait le maire.
 

Poubelles à Marseille : Les éboueurs des 2e, 15e et 16e arrondissements toujours en grèvePoubelles à Marseille : Les éboueurs des 2e, 15e et 16e arrondissements toujours en grèvePoubelles à Marseille : Les éboueurs des 2e, 15e et 16e arrondissements toujours en grève
Poubelles à Marseille : Les éboueurs des 2e, 15e et 16e arrondissements toujours en grève

Voir les commentaires

Publié le par PIERRE HAMMADI
Grève des éboueurs à Marseille : Les ordures s'entassent dans les rues

Des tonnes d’ordures au coin des rues, un maire qui en appelle au préfet et des citoyens exaspérés. Marseille entre ce mardi 17 octobre dans son sixième jour de conflit. En cause ? Environ 200 salariés qui bloquent l’accès aux centres de transfert des déchets.

Les grévistes espèrent en effet faire fléchir leur employeur, l’entreprise de nettoiement Derichebourg. Leur revendication est le maintien d’une prime, diminuée selon eux quand la société est devenue le nouveau prestataire du ramassage d'ordures des 2e, 15e et 16e arrondissements.

"On veut être payés comme on était payés avant. On a reçu que la moitié des primes", a fait valoir l'un des grévistes, Tahar Ghali, du syndicat FO. 

Lors d’un communiqué l'entreprise déplore "des tentatives de dialogue" qui restent "sans effet". Et ce, en raison des revendications qui "évoluent au fil des négociations" et l'intervention "de représentants syndicaux extérieurs à l'entreprise, salariés de sociétés concurrentes" qui "empêchent le dialogue, surenchérissent en permanence et s'expriment dans la presse en alimentant le conflit par de fausses informations".

Derichebourg rajoute "depuis la reprise des contrats par le groupe, la direction a constaté que le temps de travail des personnels transférés des sociétés précédemment délégataires des contrats dépasse rarement 4 heures par jour pour un salaire moyen mensuel allant de 2.250 euros brut pour un équipier de collecte à 2.530 euros brut pour un chauffeur". 

"Certains salariés quittent leur poste à minuit alors même qu’ils sont payés jusqu’à 4h00 du matin, obligeant, de ce fait, à engager quotidiennement des moyens supplémentaires de rattrapage" a-t-elle conclu.

Un rapport de la Chambre régionale des comptes publié en 2007 avait quantifié à 3h30 le temps de travail effectif des agents de collecte des ordures ménagères qui travaillaient pour l'agglomération marseillaise. Ce rapport avait conduit à la négociation d'un nouveau système de collecte prévoyant théoriquement la fin du "fini-parti", pratique permettant aux agents de quitter leur poste une fois leur travail terminé.

La grève ne concerne au départ que les 15e, 16e et 2e arrondissements, mais les salariés bloquent l'accès aux centres de transfert des déchets vers l'usine de valorisation, entraînant la paralysie de la collecte des déchets dans tout Marseille, dont les conteneurs débordent très largement depuis quelques jours. 

La métropole Aix-Marseille-Provence (AMP), en charge de la collecte des déchets à Marseille, avait saisi la justice en référé pour obtenir l'intervention des forces de l'ordre et le déblocage des sites. Dans la nuit et mardi matin, elle avait réussi à faire tourner quelques bennes, pour dégager en priorité les abords des hôpitaux et des écoles.
 
Tahar Ghali  a dénoncé les conditions dans lesquelles s'était fait l'accès aux centres de tri "vers 23H00, des vigiles de la société ont forcé le barrage des grévistes et ont blessé deux personnes". 

Faux, a répliqué Derichebourg : "À plusieurs reprises les bennes ont été empêchées de circuler et la police est intervenue", a affirmé pour sa part le directeur général du nettoiement, Emmanuel Brun. Des déclarations contredites par la direction départementale de la police nationale, qui a indiqué ne pas être intervenue, ni avoir été saisie de demandes d'escortes.

Dans la mi journée, les salariés de l'entreprise ont annoncé la levée du blocage sur plusieurs sites. "On a débloqué tous les sites [de transfert], on a fait un effort. Maintenant, la balle est dans le camp de Derichebourg", a indiqué Tahar Ghali, représentant du personnel et gréviste, ajoutant "Nous ne bloquons plus que notre centre " dans le 15e arrondissement. 

Voir les commentaires

Publié le par PIERRE HAMMADI

"Le racisme n'a pas sa place à l'Académie." Face aux 4.000 élèves de l'école militaire qu'il dirige, le général Jay Silveria n'a pas mâché ses mots. Ce haut-gradé de l'armée américaine a fermement recadré les futurs soldats après la découverte d'insultes racistes taguées sur les portes d'élèves noirs.

La vidéo de son discours, prononcé jeudi 28 septembre, devant ses étudiants, fait désormais le tour du monde. "Si vous n'êtes pas capable de traiter quelqu'un d'une autre race ou d'une autre couleur de peau avec dignité et respect, alors vous devez foutre le camp", a déclaré aux élèves-officiers le général, directeur de l'Académie de l'armée de l'Air à Colorado Springs, dans le Colorado. 

"Ce genre de comportement n'a sa place, ni dans les classes préparatoires, ni à l'académie, ni dans l'armée de l'Air américaine", a-t-il martelé, furieux, devant ses étudiants rassemblés devant lui au garde-à-vous. "Notre pouvoir à tous, c'est notre diversité ! Nous venons d'endroits différents, nous venons de différentes races, de différents genres... Et cette diversité, c'est ce qui nous rend bien plus puissants !", a-t-il insisté. 

Il a alors demandé aux étudiants de sortir leur smartphone de leur poche. "Je suis sérieux, prenez vos téléphones, je veux que vous fassiez une vidéo de tout ceci, que vous la gardiez, que vous l'utilisiez". Il a alors réaffirmé son message à plusieurs reprises : "si vous n'êtes pas capable de traiter quelqu'un d'une autre race ou d'une autre couleur de peau avec dignité et respect, alors vous devez foutre le camp !".

Il a ainsi condamné un acte raciste à l'encontre de cinq étudiants noirs en année préparatoire de cette école, qui forme les futurs officiers de l'armée de l'Air américaine. Ils avaient trouvé des injures racistes écrites au marqueur sur leur porte. L'un d'eux a posté sur Facebook une photo d'une ardoise blanche sur laquelle était inscrite : "Rentre chez toi, le Nègre".

Des parents ont alors alerté le corps enseignant, ce qui a conduit à l'ouverture d'une enquête et au discours en forme de coup-de-poing sur la table du général Jay Silveria. 

Le coup de gueule d'un général américain contre le racismeLe coup de gueule d'un général américain contre le racisme

Voir les commentaires

Publié le par PIERRE HAMMADI

Un mois après la disparition de Maëlys, 9 ans, à Pont-de-Beauvoisin (Isère), le 27 août, ses parents ont décidé de s’exprimer jeudi 28 septembre. Lors d'une conférence de presse à Lyon. "Une parole de détresse mais aussi un appel pour la vérité", a annoncé leur avocat Fabien Rajot avant de leur laisser la parole.

Les parents ont d'abord expliqué les raisons pour lesquelles ils n'avaient pas communiqué jusqu'à présent. "Nous souhaitions protéger notre vie privée ainsi que celle de notre fille aînée et celles de nos proches."

Joachim De Araujo, le père de la fillette a tenu à "remercier toutes les personnes qui ont participé et qui participeront à la manifestation de la vérité". "Les messages de soutien nous ont fait chaud au cœur et nous aident à rester debout."

Jennifer De Araujo, la mère de Maëlys a ensuite pris la parole pour demander au suspect, Nordhal Lelandais, de sortir de son silence. "Nous lui demandons de dire tout ce qui s'est passé ce soir-là. Nous ne disons pas que nous voulons un coupable à tout prix et sans preuve valable", "Toutefois, son attitude étrange lors du mariage nous a interpellés, nous lui demandons de révéler ce qu'il sait."

En effet, le suspect avait discuté de ses chiens avec Maëlys et sa mère. Puis il a avoué avoir fait monter la fillette dans sa voiture pour qu'elle puisse voir les animaux dans le coffre. 

La mère en détresse a ajouté que "son comportement depuis le début de l'enquête ne nous convainc pas et nous laisse penser qu'il détient des informations importantes pour nous aider à retrouver notre fille."

Les parents ont rappelé qu'ils n'avaient jamais rencontré le suspect avant le mariage et ont déploré les rumeurs à ce sujet. Par cet "appel à l'aide", ils ont assuré qu'ils ne recherchaient pas de coupable mais des informations pour retrouver leur fille, qui va avoir 9 ans, le 5 novembre prochain.

Dans la nuit du 26 au 27 août, Maëlys disparaît lors d'une fête de mariage, celui d'un cousin de sa mère, organisé dans la salle des fêtes de Pont-de-Beauvoisin (Isère). L'enfant a été vue pour la dernière fois vers 3 heures du matin. Les enquêteurs ont sondé les lacs et organisé des fouilles dans les forêts, près de l'endroit où Maëlys a été vue la dernière fois. 

Les gendarmes ont également perquisitionné le domicile du seul suspect, Nordahl Lelandais, un ancien militaire âgé de 34 ans. Plusieurs indices intriguent les enquêteurs : son short taché de vin le soir de la disparition de Maëlys reste introuvable, la dissimulation aux gendarmes de son deuxième téléphone portable et le fait d'avoir minutieusement nettoyé sa voiture dans une station-service. S'il nie toute implication dans la disparition de Maëlys, il a été mis en examen et écroué. 

Disparition : Les parents de Maëlys "demandent au suspect de révéler ce qu'il sait"

Voir les commentaires

Publié le par PIERRE HAMMADI

Dimanche 3 septembre, Laurent Wauquier, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, officiellement candidat à la présidence du parti Les Républicains, a prononcé un premier discours depuis le mont Mézinc (Haute-Loire) à 1.700 mètres d'altitude. Et, prévient qu'il va falloir s'attendre au retour de la "droite vraiment de droite".

"Certains pensent que la droite doit jeter un voile pudique sur ses idées. Je crois exactement l'inverse", déclare-t-il. "Le problème de la droite n’est pas d’en dire trop, mais de ne pas en faire assez quand nous sommes aux responsabilités."

Parlant de lui à la troisième personne : "Il est de droite, et pire que ça : il ne s'en excuse pas ! [...] J’entends d'ici : c’est la droite dure, de la droitisation. Être à droite pour certains, c’est déjà une dangereuse dérive droitière... C’est comme cela, ne vous y trompez pas, que la gauche cherche à nous faire taire."

Laurent Wauquier mitraille Macron : "Ma conviction c’est qu’il pratique le double langage et la duplicité à l’égard des Français. Il dit une chose, l’autre fois il dit l’autre, […] et il n’est pas exclu qu’il ne tienne parole ni sur l’une, ni sur l’autre."

"Il prétend faire la guerre au terrorisme, et supprime les moyens de la police et de notre armée. Il prétend s’occuper du pouvoir d’achat des français, et s’apprête à augmenter massivement les impôts. [...] Il dit que nous devons tous faire des efforts, et n’hésite pas à dépenser 26.000 euros de maquillage, de quoi faire pâlir le coiffeur de François Hollande !"

"Les Français sont en train de comprendre que son seul projet, c’est lui-même. L’illusion n’est plus là."

Il a également taclé :

 - Jean-Luc Mélenchon " C’est un grand spécialiste. Un grand spécialiste des dictatures latino-américaines. Il parle beaucoup mieux du Venezuela que de la France".

 - Et réduit Marine Le Pen au cruel souvenir du débat manqué d'entre-deux-tours : "Elle a montré le visage de la haine, de l’agressivité et de l’incompétence, elle a montré qu’elle n’était pas à la hauteur, les Français ne l’oublieront pas."

 - Quant à la gauche, elle est expédiée d'une phrase : "Elle est aujourd’hui chez Macron !".

"La boucle est bouclée, il ne reste qu'un recours. À condition bien sûr de slalomer entre les Cassandre et les traîtres qui entachent l'histoire récente de la droite. Nous avons souvent été ‘la droite la plus bête du monde’. Je ne rentrerai pas dans ce jeu. Les diviseurs dans notre famille politique, nous en avons plus qu’assez, et nous ne les laisserons plus nous affaiblir", promet Laurent Wauquiez.

Laurent Wauquiez a également tenu à remercier lors de son allocution ceux qui ont décidé de soutenir sa candidature. C'est le cas notamment de la juppéiste Virginie Calmels, "symbole fort" selon lui de son projet qui veut "s'ouvrir sur la société civile". 

Les élus LR Brice Hortefeux, Éric Ciotti et Damien Abad ont également reçu les remerciements de l'ancien ministre.

L'élection pour la présidence du parti Les Républicains se tiendra les 10 et 17 décembre. Pour l'instant, Laurence Sailliet, Daniel Fasquelle, Florence Portelli, Maël de Calan et Julien Aubert sont également candidats.

Clôture du discours avec la Marseillaise

Voir les commentaires

Publié le par PIERRE HAMMADI

L'actrice française Mireille Darc est morte à l'âge de 79 ans, annonce sa famille à RTL lundi 28 août. Elle était une icône du cinéma français dans les années 70. Née Mireille Aigroz le 15 mai 1938, elle avait choisi son pseudonyme en référence à Jeanne d'Arc.

L'actrice emblématique des années 1960 et 1970 a tourné au total dans une cinquantaine de longs métrages pour le cinéma.

La comédienne avait fait plusieurs hémorragies cérébrales il y a un an. Elle était dans le coma depuis trois jours, précise Europe 1, citant son mari, Pascal Desprez.

Voir les commentaires

Publié le par PIERRE HAMMADI
La présentation, dans la "charte de transparence" publiée ce lundi 21 août par l'Élysée, des moyens dont dispose Brigitte Macron, est particulièrement avantageuse pour l'épouse du président par rapport aux Premières dames qui l'ont précédée.
 
Selon cette charte de transparence, la Première dame "assure la représentation de la France, aux côtés du président de la République, lors des sommets et réunions internationales". Elle répond en outre "aux sollicitations des Français et des personnalités françaises et étrangères qui souhaitent la rencontrer". Elle est enfin chargée de "superviser la tenue des manifestations et réceptions officielles au sein du palais de l’Élysée" et de "soutenir, par son parrainage ou sa présence, des manifestations à caractère caritatif, culturel ou social ou qui participent au rayonnement international de la France".
 
Sur ses moyens, comme annoncé, Mme Macron disposera de deux conseillers présidentiels et d’un secrétariat. Sa protection est assurée par le groupement de sécurité de la présidence de la République (GSPR). Mais Mme Macron ne bénéficie d’aucune rémunération ni d’aucuns frais de représentation ou budget propre, les moyens pour ses activités étant pris sur le budget de la présidence.
 
La charte ne parle pas, des personnes chargées de répondre aux quelque 150 lettres reçues chaque jour. L'Élysée se contentant d'une formule bien peu précise : "Un secrétariat est également mis à sa disposition".
 
On ne manquera pas de comparer les moyens affichés avec ceux dont disposaient les compagnes de précédents présidents : Carla Bruni disposait de huit collaborateurs, Valérie Trierweiler de cinq et Bernadette Chirac de pas moins de vingt et un.
 
"Il ne s'agit pas d'un statut juridique mais d'un engagement, qui ne vaut que pour Brigitte Macron et pour la durée du mandat d'Emmanuel Macron, et qui ne sera pas contraignant pour ses successeurs ni leurs conjoints", a précisé à l'AFP l'entourage de Brigitte Macron.

Voir les commentaires

Publié le par PIERRE HAMMADI

Elvis Presley sur scène : Le concert mythique à Hawaii diffusé en direct par satellite le 14 janvier 1973. Il y a eu plus de 1,5 milliard de téléspectateurs lors de sa diffusion dans le monde !

Le 16 août 1977, Elvis Presley disparaissait à l'âge de 42 ans. Quarante ans plus tard, il fascine toujours autant, comme en témoigne sa popularité toujours intacte et les ventes de ses disques.

Pour l'anniversaire des 40 ans de sa disparition, quelque 50 000 fans sont attendus à Graceland, sa célèbre résidence à Memphis, dans le Tennessee.

Cette ville de 670.000 habitants a des airs de mausolée du rock. La visite commence à Graceland, la somptueuse demeure située au 3764 Elvis Presley Boulevard.

Le King, a acheté cette villa en 1957, alors qu’il était déjà au sommet de sa gloire. Une décoration digne d’un palace, que le public peut aujourd’hui visiter. Les lieux fourmillent d’anecdotes sur la rock star, que Priscilla Presley, avec qui il a été marié de 1967 à 1973, se remémore : "Elvis ne rêvait que de bonnes chansons. On lui en proposait des quantités. Celles qui n’aimait pas, il les jetait contre le mur du salon".

Avec plus d'un milliard d'albums écoulés, Elvis est considéré comme l'artiste ayant le plus vendu de disques de l'histoire de la musique. En 2016, le magazine Forbes l'a classé 4e au classement des célébrités mortes produisant le plus de revenus, avec un million d'albums écoulés cette année-là pour 27 millions de dollars rapportés.

Ses tubes comme "Heartbreak Hotel", "Hound Dog", "Jailhouse Rock" et "Are You Lonesome Tonight", édités et réédités, ont traversé les époques. Plus de 20 millions de touristes ont visité Graceland, sa maison mythique, ouverte au public en 1982 par son ancienne femme Priscilla, la mère de sa fille Lisa Marie.

Fruit de l'union d'un chauffeur de camion et d'une couturière, Elvis Presley est né le 8 janvier 1935 dans une petite maison de Tupelo, dans le Mississippi. En 1948, il déménage à Memphis, où il décroche son bac avant d'enregistrer son premier disque "My Happiness" et de devenir instantanément une star.

 

En plus de 20 ans de carrière - notamment suspendue par un service militaire en Allemagne de deux ans, Elvis n'a pas chômé sur scène. On compte 1156 concerts aux États-Unis et trois au Canada. Sur 24 ans sans interruption, ça représenterait 48 shows annuels soit environ un par semaine. 

 

 

Lors d'un concert assez particulier, en 1956 à Jacksonville en Floride, Elvis ne fit aucun des déhanchés si particuliers qui le caractérisaient. Plus de 22.000 personnes ont pu assister à cette prestation où le King ne bougea que le petit doigt. Pourquoi ? La police devait être présente, alarmée par le scandale que provoquaient ces mouvements du bassin auprès de certains Américains. 

 

Dans les années 1960, Elvis dérange mais conquiert aussi ses fans, parmi lesquels de nombreux adolescents. Aujourd'hui encore, la communauté des admirateurs du King est très importante. 

La rock star, qui reste encore aujourd'hui le musicien ayant vendu le plus de disques, est aussi depuis des décennies l'objet d'un concours de sosies.

 

Les fans, souvent en larmes, se pressent pour déposer des fleurs et lui rendre hommage devant sa tombe à Graceland, où Elvis repose à côté de ses parents, Gladys et Vernon, et de sa grand-mère Minnie Mae. 

 

 

40 ans après sa mort, le king Elvis Presley fait toujours recette40 ans après sa mort, le king Elvis Presley fait toujours recette

Voir les commentaires

Publié le par PIERRE HAMMADI

La capitale de la Sierra Leone, Freetown, est cruellement frappée par des éboulements et des coulées de boues. Ces inondations s'annoncent parmi les plus meurtrières en Afrique au cours des vingt dernières années.

selon les médias locaux. Des maisons entières sont submergées par les coulées de boue, tandis que les rivières en crue ont envahi les rues de la ville.

La Croix Rouge fait état de 312 personnes tuées. À la morgue de l'hôpital Connaught, la place manque pour recevoir autant de victimes.

La Sierra Leone est régulièrement touchée par des inondations meurtrières. Les habitations, précaires, peinent à résister aux pluies torrentielles. En 2015, des inondations avaient fait 10 morts et des milliers de sans-abris. Il pleut six mois par an à Freetown, ville surpeuplée d’environ 1,2 million d’habitants.

Victor Foh, le vice-président de la Sierra Leone, a déclaré craindre un lourd bilan, lundi 14 août, après la coulée de boue qui s'est produite dans la banlieue de la capitale, Freetown.

Le glissement de terrain est survenu en début de matinée dans la localité de Regent après une nuit de pluies diluviennes, emportant des dizaines de maisons sur son passage.

Un journaliste de l’AFP présent sur les lieux de la catastrophe a vu des corps de victimes transportés par des habitants, et des maisons submergées par des coulées de boue dans deux quartiers de la ville, où des rues ont été envahies par des rivières en crue.

Victor Foh, le vice-président de la Sierra Leone, a déclaré craindre un lourd bilan, lundi 14 août, après la coulée de boue qui s'est produite dans la banlieue de la capitale, Freetown.

 

Sierra Leone : plus de 300 morts dans des coulées de boue à FreetownSierra Leone : plus de 300 morts dans des coulées de boue à Freetown

Voir les commentaires

Articles récents

Hébergé par Overblog