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Liban : un prince saoudien impliqué dans une saisie record de drogue à Beyrouth.
Un prince saoudien a été arrêté, lundi 26 octobre à Beyrouth, dans la plus grosse saisie de drogue jamais effectuée à l'aéroport de la capitale libanaise.
Le prince Abdel Mohsen Ibn Walid Ibn Abdelaziz a été intercepté "alors qu'il tentait avec quatre autres personnes d'embarquer pour Ryad dans un avion privé avec près de deux tonnes de pilules de Captagon ( une drogue à base d'amphétamine) et une quantité de cocaïne rangées dans des caisses", a affirmé une source sécuritaire libanaise...
Impôts : après les impôts locaux, les retraités modestes voient leur CSG flamber.
En plus d'augmentations des impôts locaux, des centaines de milliers de veufs et de veuves subissent aussi cette année une hausse d'environ 500 euros de leur CSG (contribution sociale généralisée).
Plusieurs centaines de milliers de retraités veufs modestes ont un peu de mal à croire aux promesses gouvernementales d'allègement de la fiscalité. Car pour eux, c'est plutôt l'inverse qui se produit. Selon les chiffres fournis par Bercy à la commission des Finances de l'Assemblée nationale, 617.000 veufs subissent depuis le début de l'année de fortes hausses de la CSG.
En moyenne, la hausse d'impôt est de 519 € cette année. Une somme rondelette pour des personnes âgées qui ne roulent pas sur l'or : 257.000 d'entre elles gagnent moins de 11.642 euros par an. Pour un retraité percevant une pension d'un peu moins de 1.000 € par mois, la perte de pouvoir d'achat mensuelle est d'une quarantaine d'euros.
Les retraités bénéficient d'une exonération ou de taux réduits de CSG. Si, et seulement si, ils ne dépassent pas un certains niveau de revenu. Ainsi, une personne seule dont le revenu fiscal de référence est inférieur à 10.676 € est totalement exonérée de CSG. Entre 10.676 € et 13.956 €, le taux appliqué est un taux réduit à 3,8%. Au delà, c'est taux plein : 6,60% de CSG sur la pension.
Pour tenir compte de la situation familiale de chacun, ces plafonds sont relevés pour les personnes bénéficiant de parts fiscales supplémentaires (un enfant, une personne à charge, etc..).Or les veuves et les veufs bénéficiaient ces dernières années d'une demi-part fiscale supplémentaire. Cette demi-part permettait donc à certains de profiter de la réduction, voire d'une exonération de la CSG.
Depuis le 1er janvier 2015, la demi-part supplémentaire qui profitait aux parents isolés ou aux veufs et veuves ayant eu un enfant a été définitivement supprimée. Une mesure votée par la précédente majorité. Résultat, 617.000 veufs ont perdu le bénéfice du taux allégé de CSG cette année.
Pour une bonne partie de ces contribuables, les conséquences de la perte de cette demi-part de quotient familial ne s'arrêtent pas là. Car tout une série d'exonérations fiscales ( la redevance télévisuelle par exemple) ou d'aides sociales sont bâties sur le même modèle. L'effet sur leur pouvoir d'achat est particulièrement dévastateur en matière d'exonérations d'impôts locaux...
Après les impôts locaux, les retraités modestes voient leur CSG flamber
1/2 Une pause fiscale, mais des hausses d'impôts... Plusieurs centaines de milliers de retraités veufs modestes ont un peu de mal à croire aux promesses gouvernementales d'allègement de la fiscalité. Car, pour eux, c'est plutôt l'inverse qui se produit.
Le docteur Nicolas Bonnemaison a été retrouvé inconscient dans son véhicule, dans la forêt, à Tosse (Landes).
L'ex-urgentiste a fait une tentative de suicide, samedi 31 octobre. Son pronostic vital est engagé. Nicolas Bonnemaison a été découvert dans la matinée par deux joggeurs. Il a été conduit au CHU de Bordeaux. Il a apparemment absorbé des médicaments.
Cette tentative de suicide survient une semaine après la condamnation de l'ancien urgentiste. Il a été condamné à deux ans de prison avec sursis par la cour d'assise d'Angers, pour avoir délibérément donné la mort à l'hôpital de Bayonne à Françoise Iramuno, une patiente âgée de 86 ans. Il a été acquitté pour les six autres cas de patients pour lesquels il était jugé.
Il était accusé d'avoir mis fin aux jours de sept patients, en fin de vie incurables, entre 2010 et 2011.
La cour d'Assises des Pyrénées-Atlantiques l'avait acquitté lors du premier procès en juin 2014 à Pau, mais le parquet général avait fait appel. Malgré son acquittement, Nicolas Bonnemaison avait été radié par l'Ordre des médecins...
Ville de Marseille : une application pour (re)trouver une sépulture...
Cimetières : une application pour (re)trouver une sépulture | Ville de Marseille
Mairie " Cimetières : une application pour (re)trouver une sépulture Avec près de 160 000 tombes réparties dans 21 cimetières municipaux , Marseille lance, à l'occasion de la fête de la Toussaint, une nouvelle application pour permettre aux familles et amis des défunts de se rendre plus facilement sur une tombe.
http://mairie.marseille.fr/actualites/cimetieres-une-application-pour-retrouver-une-sepulture